Conseils Business, Outils Pros et Formations | SellTestEquipment https://www.selltestequipment.com Thu, 24 Jul 2025 09:30:57 +0000 fr-FR hourly 1 https://www.selltestequipment.com/wp-content/uploads/2025/06/cropped-icon-32x32.png Conseils Business, Outils Pros et Formations | SellTestEquipment https://www.selltestequipment.com 32 32 Matériel industriel obsolète : revendre ou recycler, quel choix pour votre entreprise ? https://www.selltestequipment.com/materiel-industriel-obsolete-revendre-ou-recycler-quel-choix-pour-votre-entreprise/ https://www.selltestequipment.com/materiel-industriel-obsolete-revendre-ou-recycler-quel-choix-pour-votre-entreprise/#respond Thu, 24 Jul 2025 08:43:49 +0000 https://www.selltestequipment.com/materiel-industriel-obsolete-revendre-ou-recycler-quel-choix-pour-votre-entreprise/ Lire la suite

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Quand on dirige une entreprise industrielle, gérer le matériel obsolète, c’est souvent un casse-tête qu’on aurait bien aimé éviter. Je vous comprends parfaitement : il y a cette vieille fraiseuse CNC de 1997, ce compresseur qui ronronne bizarrement depuis deux ans, ou ce robot industriel qui prend la poussière dans l’atelier. On le sait, tout ça n’est plus vraiment efficace ni aux normes d’aujourd’hui. Mais alors, qu’est-ce qu’on en fait ? Est-ce qu’on revend à tout prix ou bien est-ce qu’on opte pour un recyclage plus écoresponsable ?

Revendre votre matériel industriel : vraiment une bonne idée ?

La revente, c’est tentant. C’est clair que récupérer un peu de cash sur une machine qui dort dans un coin, ça ne fait jamais de mal au portefeuille de l’entreprise. En plus, vous libérez de la place, et franchement, l’espace c’est aussi précieux que l’argent. Mais attention : revendre du matériel industriel ancien, c’est aussi prendre le risque d’y perdre son temps. Perso, j’ai vu des entreprises essayer de vendre leur vieille presse hydraulique pendant 18 mois sans succès. Déprimant, non ? Alors, avant de vous lancer, vérifiez la demande réelle sur le marché, les coûts de remise en état éventuels, ou même contactez des intermédiaires spécialisés comme https://www.midinvest.fr, qui peuvent vous conseiller efficacement. Ça vous évitera de rester avec un matériel invendable sur les bras.

Recycler : un choix responsable, mais à quelles conditions ?

Ok, la revente n’est pas toujours évidente. Mais alors recycler, est-ce que c’est vraiment mieux ? Eh bien oui, si vous avez envie d’afficher votre engagement environnemental et de coller aux réglementations actuelles. Je trouve que c’est plutôt valorisant pour une entreprise aujourd’hui de jouer cette carte éco-responsable. Mais attention, le recyclage industriel, ce n’est pas une promenade tranquille. Il y a souvent des coûts, de la logistique à prévoir, et il faut bien choisir ses prestataires. Honnêtement, j’ai entendu des histoires de patrons qui se sont retrouvés à payer plus cher pour recycler leur vieille ligne de production qu’à la revendre à perte. Un comble, non ? Du coup, faites attention, comparez plusieurs offres et vérifiez les certificats environnementaux pour ne pas avoir de mauvaises surprises.

Comment faire le bon choix pour votre entreprise ?

Maintenant, on arrive au concret : comment trancher ? Eh bien posez-vous clairement ces questions : Est-ce que mon matériel a encore une vraie valeur marchande ? Ai-je vraiment le temps et les ressources pour gérer une revente ? Ou est-ce que mon image de marque bénéficierait plus d’une démarche écolo assumée ? Parfois, la réponse saute aux yeux. Parfois, c’est beaucoup moins évident.

Et puis, honnêtement, personne ne vous oblige à choisir tout de suite. Vous pouvez toujours commencer par tester le marché, quitte à basculer sur le recyclage si ça ne mord pas. Dans tous les cas, réfléchissez bien à l’impact sur votre trésorerie, votre réputation et votre temps (oui, votre temps aussi a de la valeur).

En résumé, revendre ou recycler son matériel industriel obsolète, ça dépend vraiment de :

  • La demande réelle sur le marché d’occasion (faites un test, ça coûte rien).
  • Les coûts cachés de remise en état ou de stockage en attendant la vente.
  • Votre positionnement : pragmatique et financier, ou plutôt responsable et durable ?
  • Votre image d’entreprise (oui, ça compte plus que jamais).

Au final, vous êtes le seul à vraiment connaître votre contexte. Mais j’espère au moins que ça vous aura donné quelques pistes utiles pour y voir plus clair ! Alors, plutôt revente ou recyclage pour vous ?

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Reprendre une entreprise ou en créer une ? Avantages, risques et arbitrage stratégique https://www.selltestequipment.com/reprendre-une-entreprise-ou-en-creer-une-avantages-risques-et-arbitrage-strategique/ https://www.selltestequipment.com/reprendre-une-entreprise-ou-en-creer-une-avantages-risques-et-arbitrage-strategique/#respond Fri, 20 Jun 2025 15:46:04 +0000 https://www.selltestequipment.com/reprendre-une-entreprise-ou-en-creer-une-avantages-risques-et-arbitrage-strategique/ Lire la suite

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Tu veux entreprendre, c’est clair. Mais une question revient souvent, presque obsessionnelle : je crée mon truc à partir de zéro ou je reprends une boîte qui tourne déjà ? Spoiler : y’a pas de réponse universelle. Mais il y a des vraies différences à bien capter. Et si t’hésites entre les deux, tu n’es pas le seul. Franchement, c’est un dilemme que se posent des centaines de porteurs de projet chaque mois.

Avant de foncer tête baissée, je te conseille d’aller faire un tour sur www.gementreprendre.fr. Ce site, c’est une mine d’or si tu réfléchis sérieusement à la reprise. Ils décryptent le sujet de façon claire, concrète, sans chichi. Pas de bullshit.

Créer sa boîte : la liberté totale… mais le vide au début

Lancer sa propre entreprise, c’est le grand saut. Tu pars de rien. Zéro client, zéro chiffre d’affaires, souvent zéro notoriété. Mais t’as carte blanche. Tu choisis ton positionnement, ton ton, ta stratégie, ton équipe (si t’en as une). T’es libre. C’est exaltant… et flippant à la fois.

Je me souviens d’un entrepreneur à Marseille qui a monté une boîte de logiciels pour artisans. Il a mis 18 mois à sortir un revenu stable. Il bossait 70 heures par semaine au début, avec des moments de gros doutes. Mais aujourd’hui, il ne changerait rien. Parce que son business, il l’a construit exactement comme il voulait.

Reprendre une entreprise : un tremplin… mais pas sans pièges

De l’autre côté, reprendre une entreprise existante, c’est démarrer avec un socle. Une clientèle, un CA, parfois une équipe en place, des process. Tu n’es pas dans le néant, tu es dans le concret. C’est un gain de temps énorme. Et parfois, un confort mental non négligeable.

Mais attention : qui dit existant dit historique. Tu récupères aussi les casseroles. Une culture d’entreprise bien installée, des habitudes parfois tenaces, des salariés pas toujours ravis de voir un nouveau boss débarquer… Sans parler des risques de surpayer le truc. Le prix, c’est LE nerf de la guerre. Surtout si tu n’as pas un œil exercé pour lire un bilan.

Créer ou reprendre : comment faire le bon choix ?

Ça dépend surtout de toi. Pose-toi ces questions franchement :

  • Tu aimes construire de zéro ? T’es à l’aise avec l’incertitude, la solitude, les premiers mois à vide ? Alors la création peut te faire vibrer.
  • Tu préfères optimiser, faire croître un existant ? Tu veux rentrer dans le concret tout de suite, avec un modèle qui tourne ? Regarde du côté de la reprise.
  • Tu maîtrises bien les finances ? Parce qu’une reprise mal évaluée peut te plomber pour de bon. Là, pas de droit à l’erreur.

Il y a aussi une question de timing. Si tu as 22 ans, peu d’argent et beaucoup d’énergie, tu peux tenter la création. Si tu as 45 ans, une famille, du réseau, et que tu veux passer à l’action vite, la reprise a du sens.

Les chiffres qui parlent

Selon la BPI, une entreprise sur deux ne trouve pas de repreneur en France. Et pourtant, il y a environ 60 000 transmissions d’entreprises chaque année. En face, 300 000 créations. C’est beaucoup, mais 40 % ferment dans les 3 premières années. Tandis que la reprise, elle, affiche un taux de survie de 75 % au bout de 5 ans. Ça fait réfléchir, non ?

Alors, qu’est-ce qu’on fait ?

Je ne vais pas trancher à ta place. Mais sois honnête avec toi-même. Créer ou reprendre, c’est pas une bataille entre le bien et le mal. C’est une question d’envie, de compétences, de situation de vie. L’important, c’est d’y aller avec lucidité. Et de bien t’entourer.

Tu veux un conseil ? Parle à des créateurs ET à des repreneurs. Écoute leurs galères. Leurs victoires. Et surtout leurs regrets. Parce que c’est là que tu vas trouver des réponses que ni Google, ni aucun article ne te donnera jamais complètement.

Et toi, t’es plutôt team création ou team reprise ?

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Achat-revente de matériel de test : est-ce encore un bon business en 2025 ? https://www.selltestequipment.com/achat-revente-de-materiel-de-test-est-ce-encore-un-bon-business-en-2025/ https://www.selltestequipment.com/achat-revente-de-materiel-de-test-est-ce-encore-un-bon-business-en-2025/#respond Thu, 12 Jun 2025 15:11:41 +0000 https://www.selltestequipment.com/achat-revente-de-materiel-de-test-est-ce-encore-un-bon-business-en-2025/ Lire la suite

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Franchement, c’est une question qu’on entend de plus en plus. Avec tout ce qui bouge sur le marché industriel, la montée du reconditionné, les cycles d’innovation qui s’accélèrent… on peut se demander si l’achat-revente de matériel de test a encore du jus en 2025.

Le marché est loin d’être mort. Au contraire.

On pourrait croire que tout le monde achète du neuf, que les entreprises veulent du dernier cri. Eh bien pas forcément. En 2025, de plus en plus de boîtes cherchent à optimiser leurs budgets. Le neuf, c’est bien, mais c’est cher. Le reconditionné et l’occasion, c’est devenu presque normal, surtout dans les secteurs où le matos coûte une blinde : électronique, télécom, aéronautique, médical…

Un analyseur de spectre dernier modèle ? Facilement 50 000 euros. Une station de calibration avancée ? On tape vite dans les 20 000 à 100 000 euros. Autant dire que la tentation est grande d’aller chercher du bon matos de seconde main, testé, calibré, garanti… mais 30 à 50% moins cher. Et ça, ça crée un vrai marché.

Qui achète en 2025 ?

Je vais être direct : il n’y a jamais eu autant de profils différents sur ce marché.

  • Les PME qui montent en puissance et qui n’ont pas les moyens du neuf.
  • Les écoles, les labos de formation technique qui veulent équiper des salles entières sans exploser les budgets.
  • Les boîtes de maintenance qui ont besoin de plusieurs jeux d’équipements.
  • Les start-ups hardware qui testent des prototypes avec du matériel de test sérieux mais accessible.
  • Et même… des grands groupes qui optimisent leurs parcs secondaires ou leurs filiales à l’étranger.

Le public est là. Et il est de plus en plus à l’aise avec l’idée d’acheter du matos reconditionné – à condition que ce soit propre, fiable, et bien documenté.

Les marges sont-elles toujours là ?

Alors oui… et non. Disons que c’est plus technique qu’avant.

Sur certains équipements très demandés (analyseurs de spectre, oscilloscopes haut de gamme, testeurs de réseaux 5G…), les marges restent solides, parfois 20 à 30%. Mais il faut savoir acheter malin. Les vendeurs qui récupèrent des lots sur des fermetures de sites, des fins de leasing, ou des surstocks industriels ont souvent un avantage.

En revanche, sur du matos plus générique ou très ancien, les prix se sont tassés. Tout le monde a compris le filon. Et avec la transparence des plateformes B2B et des marketplaces, les acheteurs comparent beaucoup plus vite qu’avant. Fini les marges à 50% sur un vieux multimètre Fluke fatigué.

Les risques à ne pas sous-estimer

Là aussi, soyons clairs : c’est pas le business du siècle si on le prend à la légère.

Les contrôles qualité sont cruciaux. Vendre un appareil mal calibré, ou qui lâche trois mois après la vente, c’est le genre de truc qui flingue votre réputation en deux temps trois mouvements. Perso, je vois trop de vendeurs qui négligent la phase de test avant revente. Mauvaise idée.

Il y a aussi les aspects réglementaires : certains matériels de test sont soumis à des normes strictes, notamment en médical ou en aéronautique. Vendre sans certificat de calibration valide ? Dangereux. Et parfois illégal.

Enfin, les délais peuvent être longs. Trouver un acheteur pour un analyseur hyper spécifique de 2012, ça peut prendre des mois. Le stock dort… et immobilise du cash.

Plateformes et canaux de vente : où ça bouge en 2025

Là-dessus, il y a clairement du neuf.

  • Les marketplaces B2B spécialisées cartonnent. TestEquity, Keysight Used, Electro Rent… ça tourne fort.
  • LinkedIn devient un vrai terrain de chasse pour les vendeurs de matériel de test d’occasion. Beaucoup de deals se font en off, en message privé.
  • Certains se lancent sur des modèles hybrides : revente avec garantie étendue, maintenance incluse, hotline technique… Ça rassure les acheteurs et ça permet de justifier de meilleures marges.
  • Le cross-border s’accélère : vendre en Allemagne, aux US ou au Japon, c’est de plus en plus fréquent pour les pros bien rodés.

Alors, on y va ou pas en 2025 ?

Perso, je dirais oui, mais pas à l’arrache. L’achat-revente de matériel de test reste un business rentable, mais il faut jouer sérieux :

  • Bien connaître le matériel et ses cycles de vie.
  • Savoir détecter les bonnes opportunités d’achat.
  • Maîtriser les aspects techniques (calibration, conformité, documentation).
  • Travailler sa crédibilité et son réseau.

Les clients deviennent exigeants. Mais si on joue le jeu de la qualité et du service, y’a encore beaucoup de belles affaires à faire en 2025.

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